El Centro Riojano de Madrid a accueilli pour la première fois l’ambassadeur turque Cihad Erginay, un diplomate avec aspect d’un négociant international ou d’un représentant personnel de John le Carré, qui était avec son grand don de palabre un excellent représentant de la clarté de l’exposition. Il a prononcé une brillante conférence en anglais parfait, très didactique, sur la sécurité régional de Turquía dans le cadre du II Forum Nations Unies de Paix et Coopération et du Centro Riojano.

Parmi l’audience on pouvait voir les meilleures dames de la vie social de Madrid telles que Roxa Ortiz et Julia Moreno et des hommes comme le représentant espagnol Arturo Pérez Martínez, Carlos Uriarte et des membres du Centro avec le directeur du personnel Ángel et Charo avec le directeur de la communication juan Antonio Mardomingo. Entre mes étudiants la belle Ester García, le cerveau l’italienne Alessia Busi, Molly que Mola d’Etats-Unis et la promisante Olena de Ucrania.

La table ronde était composée par l’ambassadeur, Renata Vázquez – Traductora formidable, Joaquín Antuña, Présidente et fondatrice de Paz et de la Coopération, et José Antonio Rupérez Président du centre de Riojano: ils ont remarqué le rôle central de Turquie pour le procès de paix en Moyen Orient et les liens qui existent avec l’Espagne qui vont des différences du passé jusqu’à la Alliance de Civilisations du présent, lequel commissaire est l’ex Ministre de l’extérieur, Miguel Angel Moratinos.

L’ambassadeur nous a permis de consulter la carte régionale de la Turquie afin de gérer plus efficacement les problèmes locaux et internationaux, en utilisant l’humour pour décrire les problèmes dans la Mer méditerranée et Nègre il nous a moqué en disant qu’il serait plus facile être ambassadeur de la Nouvelle Zélande. Il a expliqué dans le détaille la frontière de plus que mil ans avec l’Iran, le problème avec Syrie et la de Chypre, qui attend la résolution du problème.

Il a dessiné un trait du projet « Le coeur d’Asie » et a principalement axé sa conférence sur la lutte contre le terrorisme et la politique étrangère humanitaire.

Le terrorisme est un crime contre l’humanité et le monde entier: La Turquie comme l’Espagne ont souffert avec plus de 50 000 victimes en 40 ans. C’est pourquoi elle fait partie de nombreuses organisations et opérations pour le combattre, telles que le Bouclier de l’Euphrate et les opérations de la Branche d’Olivier, le Forum mondial contre le terrorisme, le Groupe de travail sur la Corne de l’Afrique et la Coalition anti-Daesh. Il a déclaré que l’une des plus grandes menaces est le PKK (Partiya Karkerên Kurdistanê – Kurdistan Workers Party), reconnu comme une organisation terroriste par l’Union européenne et États-Unis, et ses dérivés, le PYD et le YPG: selon la présentation de l’ambassadeur, ils partagent les mêmes cadres et utilisent les mêmes camps d’entraînement et disposent des mêmes moyens financiers. Il s’est battu contre la conviction que la politique de la Turquie est dirigée contre le peuple kurde en soulignant que les organisations terroristes ne représentent pas la communauté kurde, dont la grande majorité ne les soutient pas. Il a également répertorié comme groupe terroriste FETÖ, responsable de la tentative de coup d’État de 2016. Parlant de la Syrie, un élément clé de sa politique étrangère, il a expliqué que sa mission est principalement humanitaire et de reconstruction du pays, facilitant le retour de millions de réfugiés dans leurs foyers. Il a déclaré que son pays avait presque entièrement payé le coût élevé de cette opération, qui s’élevait à plus de 40 000 millions de dollars, la Turquie a donc fourni une grande assistance à l’Union européenne.

La Turquie lutte également contre le terrorisme international de Daesh et empêche des milliers de terroristes internationaux de retourner dans leur pays sans garantie d’accueil. L’ambassadeur a défini la politique étrangère humanitaire et entrepreneuriale comme l’une des priorités de la politique étrangère de la Turquie: parmi ses plans figurent l’amélioration des relations stratégiques et commerciales, le développement de liens avec toutes les zones géographiques et le renforcement de la coopération avec Organisations régionales et mondiales dotées d’un soft power. Le pays est également un allié de l’OTAN et une référence pour la sécurité euro-atlantique et nationale, comme l’un des plus gros contributeurs, le sixième.

La conférence s’est terminée par une vision de l’impact de la situation régionale sur l’Union européenne: les mots de l’ancien secrétaire général de l’OTAN, M. Javier Solana ont été cités: « L’Europe ne sera un continent pacifique et heureux que lorsque la sécurité de ses régions voisines ne soient assurés ». Il nous a également rappelé les accords entre l’Union et la Turquie, qui ne sont pas encore atteints au bout de trois ans, mais qui au moins ont donné une pertinence au drame humain des réfugiés. En menant le débat, j’ai affirmé qu’au Riojano Center, on goût et pense et qu’à la suite de ce Forum, il y aura une dégustation de vins turcs et riojanais comme l’a déclaré José Antonio Ruperez, le galán Rioja et l’ambassadeur donneront une conférence à la Caude de Majadahonda sur la figure mythique de Mustafa Kemal Atatürk, le tout au printemps. Ainsi, une soirée de passion et d’amitié turques entre les peuples qui promeuvent toujours le Centre de Riojano et Paix et Coopération. Après un colloque animé avec des questions intelligentes, il est venu fournir un excellent vin de la Rioja, pour Turquie et l’Espagne, qui a contribué à laisser un souvenir agréable à ceux qui ont eu la chance de participer à cette magistrale conférence dans le cadre du II Forum des Nations Unies.